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Le théorème des singes et de la banane ou une histoire de conditionnement Une vingtaine de chimpanzés sont isolés dans une pièce où est accrochée au plafond une banane et seule une échelle permet d'y accéder. Dès qu'un singe tente d'escalader l'échelle, un système permet de faire couler de l'eau glacée dans l’ensemble de la pièce. Rapidement, les chimpanzés apprennent qu'ils ne doivent pas escalader l'échelle. Le système d'aspersion d'eau glacée est ensuite rendu inactif, mais les chimpanzés conservent l'expérience acquise et ne tentent pas d'approcher de l'échelle. Un des singes est remplacé

TRIANGLE DRAMATIQUE (Karpman) Dans nos relations avec les autres, nous adoptons inconsciemment 3 types de rôles : Persécuteur , en agressant, en s’imposant ouvertement pour juguler notre propre inquiétude, colère. « Je dois leur dire comment il faut être et agir » Victime , en se sentant impuissant et irresponsable et en espérant que quelqu’un soulagera notre malaise. « Je suis faible, malheureux, les autres doivent m’aider » Sauveur , en se portant systématiquement au secours d’autrui pour qu’il se sente bien, afin d’éviter notre propre malaise intérieur. « Les autres sont faibles, je dois

CONFIANCE EN SOI « Je n’y arriverai jamais », « je ne suis pas àla hauteur », « je n’ose pas … », « j’ai peur de … ». A travers ces petites phrases, notre esprit génère des doutes sur nos capacités, fait naître des inquiétudes quant aux conséquences de nos actes. Résultat : blocages,obstacles, difficultés à passer à l’action. En même temps, l’action serait« le meilleur remède contre vos peurs »… Comment sortir de ce cercle infernal et renforcer la confiance en soi ? Quelques pistes… CONCRETEMENT : 1. Prenez appui sur vos motivations profondes Identifiez et privilégiez les domaines d’activité

DONNER DU SENS Un homme rencontre trois tailleurs de pierres qui façonnent, quasiment côte à côte, une pierre. Le premier tailleur, assis sur sa chaise, travaille mécaniquement sa pierre et quand l’homme lui demande ce qu’il est en train de faire, c’est l’air un peu accablé qu’il répond qu’il taille une pierre et que son travail est une corvée. Non loin de lui, un second tailleur de pierre effectue le même travail mais de façon un peu plus méthodique. Quand l’homme lui demande ce qu’il est en train de faire, il explique posément qu’il taille une pierre pour construire un mur. Quelques mètres

« Rien n’est permanent sauf le changement » (Héraclite d’Ephèse) Accompagner le changement Le changement est partout. De plus en plus rapide. Pas toujours facile de le digérer, de l’intégrer, de s’y adapter. Le processus de changement peut être résumé en quatre grandes phases : Le choc Il s’agit d’une phase de déstabilisation (déni, peur, paralysie…) La résistance Il s’agit d’une phase d’opposition visant à défendre les acquis (colère, tristesse, peurs, anxiété…) L’exploration Il s’agit d’une phase de transition (test, initiative, frustration, sentiment d’incompétence…) L’engagement Il s’agit

« Qui a piqué mon fromage ? » (Spencer Johnson) Le changement Deux souris (Flair et Flèche) et deux petits rongeurs caractérisés par un esprit humain (Baluchon et Polochon) avaient découvert, dans un labyrinthe, une réserve de fromage plus grande que tout ce qu’ils avaient vu jusque-là. Chaque jour, ils en profitaient et savouraient ce bel avenir assuré. Et l’inimaginable se produisit: le fromage disparut. Les hauts cris ! Qui a piqué mon fromage? Injustice ! A la vue de cette salle complètement vide, les souris (Flair et Flèche), décidèrent d’aller chercher un autre fromage, ailleurs. La

« Si la solution est plus importante que le problème, pourquoi ne pas s’intéresser davantage aux solutions possibles? (W. O’Hanlon) Orientation solutions Notre éducation nous apprend que c’est en corrigeant nos défauts, en améliorant nos points faibles, en résolvant les problèmes que l’on progresse. Ainsi, nous avons l’habitude de chercher ce qui ne va pas et de peu nous intéresser à ce qui fonctionne, aux points forts. Ou encore d’explorer les causes des problèmes plutôt que de nous centrer sur les solutions. A l’inverse être orienté vers les solutions, c’est porter son attention sur ce qui

« Il est bien des choses qui paraissent impossibles tant qu’on ne les a pas tentées » (André Gide) Motivation et action Une envie, des projets, des rêves. Et parfois, cette impression de ne pas savoir par où commencer, de stagner, de ne pas y arriver. Des piétinements, des découragements, des renoncements. Il n’y a pas de recette miracle ça se saurait ! Mais des éléments facilitateurs, quelques points de repères, des jalons pour vous permettre d’oser et d’avancer. Concrètement : Achetez un petit carnet dédicacé à votre projet et le symbolisant. Ecrivez à chaque étape et tenez-le à jour

Tout simplement MERCI Ce matin, dans le courrier, une carte postale. Derrière, un texte manuscrit rédigé par une personne reçue en coaching quelques mois auparavant. Elle y raconte son cheminement et son évolution à la suite des séances. Pour conclure, elle écrit « vous avez été l’élément déclencheur de cette transformation et je ne vous dis qu’un mot mais je l’écris en grand : MERCI ». Face à ce message, si simple mais tellement essentiel, une grande bouffée d’émotions positives et l’envie de partager : D’une part, Donner. C’est désormais prouvé par de nombreuses études scientifiques,

« Pour dire oui, il faut pouvoir dire non » (François Mitterrand) Gérer les interruptions Pas toujours facile de se concentrer sur une tâche sans être interrompu. Le téléphone qui sonne, un collègue qui souhaite votre avis sur un dossier, un membre de votre équipe qui vous sollicite, un collaborateur qui a des informations à vous communiquer. Vous vous sentez régulièrement tiraillé entre votre besoin de canaliser votre énergie sans vous disperser et l’envie de répondre sur-le-champ à ces sollicitations extérieures. Votre efficacité et votre bien-être dépendent de votre capacité à gérer ces