Ficelle n°118 : La montagne, la mer...

Ficelle n°118 : La montagne, la mer...

La montagne, la mer…

La meilleure condition de travail, c’est les vacances !

Jean-Marie Gourio

Certains adorent la montagne, ne se sentent exister qu’au grand air.

D’autres, pour décompresser, ont besoin de la mer.

Certains doivent sentir le sang couler dans leurs veines, le battement du cœur aux tempes, vivre l’effort du corps pour se sentir exister.

D’autres ont besoin, d’immobilité, de regarder l’horizon mouvant, fuyant, à perte de vue.

Certains ont besoin de monter, de peiner pour atteindre la verticalité.

D’autres n’ont de cesse de flotter, de nager, ne se sentent à l’aise qu’en devinant les grandes profondeurs.

Montagne, vent des sommets, source d’eau froide, si pure, descente en lacet.

Mer, souffle du large, bateaux au loin, plage de sable fin ou de galets.

Marcher, nager. Respirer mieux de toute façon.

Se sentir vivant. Se poser ou se reposer, quelque temps.

Quand le réel est plus doux, moins fatiguant.

Chacun sa façon de décrocher, de recharger les accus, de se reposer.

Livre et crème solaire ou piolet et jumelles.

Refuges et crampons, châteaux de sable et poissons.

Un moment de repos bien mérité…

Afin de mieux pouvoir, remis à flots, repartir à la rentrée à… la conquête des sommets

Heureuses vacances à tous et à bientôt !